Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 22:20

Sous la couette depuis samedi, j'ai émergé en fin de matinée avec une ferme intention de mettre un bout de nez dehors malgré l'interdiction dans le congé maladie. L'objectif était d'aller au bout de la rue, à la boulangerie, soit une sortie d'environ 4mn 30'.

J'ouvre les volets et la démarche inclinée des passants m'incite à attendre un peu. L'oblique des grosse gouttes de pluie me donnent l'idée, en attendant, de les prendre en photo. Le temps que j'installe le pied, que je règle le bestiau, voilà ce que j'ai pu attraper.

 

fevrier-2013 1093 (1024x678)

 

Ben finalement, je suis définitivement restée au chaud.

 

Partager cet article
Repost0
1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 17:46

J'ai besoin de votre aide, c'est la deuxième fois où je manque irrémédiablement d'à propos.

 

La dernière fois, c'était vis à vis de pauvre louloute.

Aujourd'hui c'est en entendant '....ette (mon prénom donc), enculette'.

C'est bête, mais cela m'a un peu agacé, j'ai CRIE façon Shreck, ils ne savaient pas que j'avais fait du théâtre et pouvais crier sans solliciter de façon trop importante mes cordes vocales. J'ai donc demandé à un niveau de décibels peu discret à l'auteur de sortir de la classe et d'attendre la fin de la matinée seul à se tourner les pouces dans la pièce attenante. Quelques secondes plus tard, le directeur est venu voir ce qui se passait. Rien, nous retravaillons dans un calme olympien... (avec un effectif réduit de 1).

En rentrant ce soir après une journée qui a continué normalement (l'auteur a réintégré la classe cette après-midi et a été discret et discipliné comme jamais je l'ai connu), j'ai trouvé ma réaction un peu too much.

1 - Aveu de faiblesse, ils ont tous vu que j'étais touchée

2 - Si ma gestion de classe pouvait éviter de solliciter le directeur, inquiet de la sono émise... (et déranger les classes voisines)

 

Donc, après coup, je me suis dit qu'en répondant que la rime était pauvre et qu'avec 2 mots, il n'était pas prêt de faire un alexandrin, j'aurai pu l'envoyer dans la pièce attenante avec pour consigne de me faire des excuses en alexandrin...

Mais c'était après coup...

 

Si vous avez des solutions prêtes pour différentes situations, je pourrai m'entrainer...

 

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 20:28

Je vous fais une lettre

que vous lirez peut-être

si vous restez ministre...

 

LE RYTHME

 

Le rythme scolaire... Avant, le samedi matin était travaillé, encore avant, c'était le jeudi le jour de repos, encore avant, la rentrée était mi septembre et la sortie mi juin.

Tant qu'à tout mettre en chantier, ne jouons pas mickey.

Nous sommes d'accord : 4 jours plein gaz et c'est un jour de garderie le vendredi car tout le monde (élèves enseignants parents) est out.

Etalons, étalons, étalons. Mais commençons par le commencement. Pourquoi travailler pendant l'hiver ? Au départ, les enfants avaient leurs vacances en été pour aider la France rurale aux champs. Sauf erreur de ma part, la France rurale est machinée agricolement, les petiots ne sont plus une aide sur les moissonneuses-batteuses (encore moins dedans où ils gatent la récolte). Or, notre rythme bilogique, lui, est à la marmotte l'hiver, à l'énergie l'été.

Hop là : on remet les pendules à l'heure, les grandes vacances en hiver. (je vous avoue que cette géniale évidence m'est apparue ce matin sur mon destrier vert, en allant bosser).

 

Rythmons, il faut choisir honnêtement (aïe ça commence à légèrement partir en vrille). Les professionels du tourisme OU les rythmes scolaires ? Des occupations des locations et sites touristiques étalées sur 1,5 mois par une partie de la population française OU des alternances de 6 à 7 semaines de travail (et non 9 pour ceux qui se cognent la mauvaise période 1 anée sur 3) et 2 semaines de vacances. parce que là, les jours de garderie se comptent par semaine.

 

LA VALEUR DE L'EDUCATION NATIONALE

 

Et maintenant (mais je me transforme en anonyme totale, que personne ne cafte), regardons de plus près ces p... d'enseignants qui refusent tout changement sous de faux prétextes mais une vraie raison : se défaire d'avantages acquis... c'est pas gagné, gagné.

Les + : des vacances scolaires à durée limitée mais de bonnes durées / des horaires assez sympas.

Les - : un salaire à faire réflêchir un bon moment avant de se lancer / une image sociale dégradée (branleurs quand on reste poli) / des loulous à gérer qui ont évolué mais pas au même rythme que l'éducation nationale... (schyzophrénie assurée).

 

Oui il y a des branleurs, mais je crois qu'il y a beaucoup d'enseignants sur les rotules (qui au mieux tombent malades pour des durées assez longues, au pire persévèrent et massacrent des ribambelles de petiots), qui n'ont pas trop le choix pour évoluer, et à qui on demande des efforts. Miracle de la psychologie, ils refusent.

 

Alors, je récapitule : les rythmes oui à condition de penser au phénomène d'hibernation, de la motivation oui par des effectifs respectables, par des mixités sociales bénéfiques à tous (veuillez en référer à votre collègue du logement, vous trouverez tout le projet dans la devise de l'état : EGALITE), et je conclus en fanfare : alors et seulement alors, vous pourrez évaluer les résultats avec un vrai outil révélatif de l'adéquation de l'enseignement à la société actuelle. Outil non pas se mettre la tête dans la cendre et se dire que ces petits français sont vraiment de grands cons, mais pour diagnostiquer l'adaptation des programmes aux djeuns d'aujourd'hui. Tirer des conséquences des évaluations (des élèves et des professeurs) pour une remise en cause des moyens et objectifs (genre cercle vertueux) et non pas pour monter les parents contre une institution que ne tient debout que par la plupart des agents sont des fous furieux de leurs métiers.

 

Monsieur le ministre, viendez qaund tu veux dans ma classe, t'y fais cours une matinée sans télé et après, je t'paye un p'tit remontant ! On se bise !

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 18:21

Faut que je vide mon sac. Si vous n'avez pas le moral allez voir les bikinis chez La baronne et laissez tomber mon article.

 

Il y a 15 jours, la terreur de ma classe, vient me voir et me dit : "aujourd'hui, me taper pas, maîtresse". Intérieurement : si j'avais déjà pû le faire, je t'aurai dévissé la tête depuis belle lurette.

Professionnelle jusqu'au bout je m'informe : 'parce que d'habitude je te tape ?

- nan mais façon de parler, quoi (rajoutez l'accent fresch, wesh, zy va).

- Mais pourquoi me demandes-tu ça alors ?

Et de me montrer son poignet bandé : parcequ'hier, je m'emmerdais, alors je me suis taillé le poignet.

 

Je l'avoue, j'ai eu un moment de blanc total. Ma réponse fut à la hauteur de la vrille intersidérale qui m'a habitée : Mais voyons, L. Quand tu t'ennuies, prends donc un livre !

Et la voilà qui part voir ses potes pour leur raconter le pourquoi du comment du bandage.

 

A la pause méridienne, je file chez le directeur, je raconte. Il me recadre : je n'ai pas le droit de regarder sous le pansement, je ne peux que prendre l'info, lui transmettre, il fait un signalement.

 

Début d'après-midi : plus de pansement. Je lui demande, elle me dit que c'est guerri. Je lui demande si je peux regarder sa blessure (allez hop, j'ai l'estomac accroché), pas de souci. Tout petit bobo de rien du tout. OUF !

 

Après la classe, retour chez le directeur : ok, mais signalement quand même, on ne raconte pas innocemment ces histoires-là.

 

Discussion dans la semaine avec les collègues. Ah, mais c'est L. Ses trois frêres ainés ont été placés pour maltraitance, il ne reste à la maison qu'elle et son frêre, la famille a pu les garder avec l'aide d'un travail de fond d'une assistante sociale. ok, sympa de l'apprendre aussi tard, ça m'aurait peut-être évité des impasses péda avec elle si je l'avais su avant...

Bon, allez, n'en parlons plus, j'ai la miss à l'oeil.

 

Ce matin, bruit qui court, elle se fait chambrée par tout le monde pour une histoire de pyjama. Bon. Arrivés en classe, elle garde son blouson. Tu as froid ? Oui, me répond-elle sur un ton pitt bull. Bon. On se met au boulot, mais pas elle. Je reviens vers elle, une tête de gorgone. Quelque chose ne va pas ? NAN. Ok, je la laisse tranquille, elle ne dérange personne. Je zyeute quand même sa tenue : un joli caleçon en coton tout rayé, façon printemps. Le doute s'immisce en moi. Arrive l'intervenant d'allemand. Pas eu le temps de le prévenir (pas eu l'idée). Il voit qu'elle ne fait rien, il la reprend, je vois ma miss en préparation de réponse pas tout à fait adaptée à l'adresse d'un adulte respectable. Je lui demande de venir avec moi dans l'atelier (cette école est super bien conçue mais c'est une autre histoire). Elle bougonne, je lui saisie le bras et l'entraîne (elle se laisse plutôt faire en fait).

Entre 4 yeux, elle finit par demi-craquer : oui elle est en pyjama, et elle va niquer tous les morts de ceux qui se sont foutus de sa gueule. (je pense qu'elle voulait dire qu'elle irait cracher sur leur tombe). A priori, c'est elle qui n'a pas eu le temps de s'habiller (je doute mais ne dit rien).

après son flot de colère fleuri, je fais un deal : elle a le droit de rester dans l'atelier, y compris pendant la récréation MAIS elle ne demande pas à son cousin de venir niquer toutes les familles et tous les morts etc... Elle est d'accord et à midi, elle pourra aller chez elle se changer. elle me demande même du travail pour la récré !

 

Cet après-midi, jean, et même T-shirt que le matin, donc elle garde la doudoune (c'est quand même un des jours les plus froids). C'est ok. Je la vois, à un moment, déposer sur mon bureau un papier. Quand j'ai 2' de libre, je vais voir. Une lettre d'excuses, une demande de compréhension et surtout cette dernière phrase (je ne me souviens plus des erreurs de français, je vous livre la version corrigée) : j'aurai beaucoup d'autre chose à dire, mais voilà.

Mon estomac bien accroché a vrillé. Discrètement je la remercie de sa lettre, qu'elle sache qu'il y a des moments, la colère doit sortir, tant mieux qu'elle ait pu le faire sans dommage.

Dès la fin de la classe, direct chez le dirlo. Il me dit de garder cet écrit, d'en parler à la psy et sans avoir l'air d'y toucher, essayer de continuer cette relation de confiance ou cette demande d'aide que semble tisser L. ...

 

Ben oui.

Bon WE, petite louloute, je te promets, je ferai pour toi tout ce qui est dans mes capacités, avec l'aide de professionnels.

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 20:00

JdY

Couramment, nous affrontons des jdm (journée de merde pour celles et ceux qui vivent dans un espace temps décroché). Mardi, moi, j'ai vécu une JdY : journée de Yes (dire yes en imitant tout supporter sportif à la vue de la victoire de son équipe favorite).

Je vous explique.

 

Dans une ancienne vie, je travaillais dans une administration hiérarchisée façon mille feuille ET nid d'abeille. Des n, n-1, n+2 etc. Au sein d'un service, j'ai été n-2 par rapport au chef de service. Ne craquez pas, je ne vous demanderai pas de chercher l'inconnu.

Lors de superbes réunions techniques inter-services, il m'est arrivé de rencontrer un n (chef d'un autre service donc), qui malgrè les désaccords et divergences de nos deux services sur des projets de merde, a toujours daigné me saluer respectueusement (je rappelle : un n qui salue un n-2, qui n'est même pas de son service ...).

 

Et depuis que je ne suis plus de cette grande maison, il m'est arrivé de recroiser ce n (ses bureaux ne sont pas loin de ma crèche). Et bien non seulement il me salue, mais il prend le temps de s'arrêter, de me demander comment ça se passe dans mes nouvelles fonctions.

Petit un, il a appris que j'étais partie et s'en souvient

petit deux, il s'est souvenu pour faire quoi

petit trois, il s'intéresse à ce changement et nous discutons des + et des -.

 

Alors, le matin, avant d'aller  rejoindre mes petits loulous en mal de savoir, quand je croise ce Monsieur, que nous nous saluons et qu'il semble déçu que je sois à la bourre car cela abrège la conversation, ce ne peut être qu'une journée de Yes !

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 19:09

Le choix est source de stress.

Les publications littéraires anciennes passées à avenir me STRESSENT ! Il y a toujours plus de bouquins à lire : conseillés, prêtés, présentés, chinés, achetés, empruntés...

Je ne suis plus.

S'il vous plaît, écrivains, éditeurs, faites un break (ou de la m...), le temps que je rattrape mon retard (je pense qu'une 100ne d'années ira).

Merci !

Partager cet article
Repost0
7 janvier 2013 1 07 /01 /janvier /2013 09:00

Née Carpentey en 191..., épouse Langlade en 19..., décédée en 19... (avant ma naissance).

 

J'ai mis pas mal de temps avant de réaliser que ce nom représentait un membre de ma famille : la soeur de ma grand-mère et de Tatie Jeanine, la femme de Tonton André, la mère de Bernard, la belle-soeur de Tatie Re.

 

D'elle, je ne savais qu'une chose : la machine à coudre capable de recoudre les voiles du 420 (les lattes en bois de l'époque avaient tendance à faire sauter les coutures), de coudre des sacs de voile (chaque chose à sa place, une place pour chaque chose), est celle de tatie Mémène, rangée au bas de la bibliothèque. Voici le monstre :

 

janvier-2013 4608 (800x600)

 

A l'origine, Singer manuelle. Motorisée et éclairée ultérieurement à l'électricité, pesant dans les quelques tonnes. Je laisse en stand by la singer starlette (1960 ?) dont la pédale à déclarer son autonomie, pour reprendre des travaux de couture avec cette singer. On ne change pas une équipe qui gagne !!!

 

Tatie, nous ne nous connaissons pas, où que tu sois, Merci !

Partager cet article
Repost0
6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 12:20

Hop, et voilà le bestiau. Totale surprise de la part de l'ours.

janvier-2013 4609 (800x600) janvier-2013 4611 (800x600)

 

Je viens de le photographier à l'arrache avec mon petit Canon mignon tout plein par rapport à ce monstre de technomogie.

Mais maintenant, je rêve :

autofocus,

sensibilité,

balance des blancs,

profondeur de champs,

focale,

aperture (celui là je vais aussi m'en servir au scrabble)

vitesse

diaphragme

téléobjectif

pied

...

Bonne sieste !

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2012 6 29 /12 /décembre /2012 16:09

Et voilà, une semaine de vacances de passeé. Ponctuée de diverses aventures. Un p'tit résumé ?

(hurlements de la foule en délire OOOOOOOOOOOUUUUUUUUIIIIIIIIIIII)

 

vendredi 21 : fin du monde organisée depuis belle lurette. Dîner chez Nounouche, avec cop's et enfants. Sauvée de la fin du monde par Nounouche qui m'a prêté une explication de mouffle en tricot pour l'ours ( non, il ne voulait pas de bouquin, de CD, de truc simple à acheter...). Sauvés du froid par Flore and co (pour ne pas faire de faute d'orthographe dans le nom) par le don d'un morceau de moquette pour colmater le parquet très bien ventilé par les caves.

 

samedi 22 : départ des oursons (bouhouhou). Marché pour le réveillon.

 

dimanche 23 : marché de Noël gastro pour le réveillon et récupération de tapis chez les cousinades (même problématique que le vendredi 21, faut suivre). fourneau pour le dessert du réveillon (charlotte aux pommes et aux épices).

 

lundi 24 : réveillon programmé depuis la fin de l'empire romain. Petit stress entre amis, c'était une première pour l'ours et moi. Cadeaux à gogo (surtout pour moi, mais vous le découvrirez ultérieurement) (les mouffles sont en construction)

Entrée réussie, plat bon, la charlotte s'est démoulée sans se barrer et a tenu debout sans s'effondrer ! pffffffffffff !

 

mardi 25 : Noël, même programmation que pour le 24, exeptée pour la grand-mère de l'ours qui a Alzheimer (enfin, elle ne posséde pas le médecin, c'est plutôt son cerveau qui ne possède plus grand chose). Déjeuner entre le rire et le pleur (au bout de 2 heures c'est dur de redonner son prénom, le jour, l'endroit, tous les 1/4 d'heure).

Puis dîner (ah ah vous croyez déjà pouvoir passer au 26, hein ?).

 

mercredi 26 : sortie vosgienne, quelques lourdeurs intestinales et le beau temps sont propices à nous expulser vers la montagne. Soirée tricotage, yes, yes, yes ça prend forme !

 

jeudi 27 : sans doute rien, je ne me souviens pas... du tricot sans doute ?

 

vendredi 28 : le verdict tombe, forme des mouffles ok, taille... trop petite... A refaire ! midi : don de plaquettes, puis tricotage, puis, puis, .... squash ! Nom d'une pipe en bois, c'est délire ce sport. Aucune finesse, de la brutalité dans la raquette, des accélarations à y laisser le palpitant (je dis aucune finesse car j'en suis au stade d'essayer de frapper la balle, un jour peut-être j'essayerai de définir sa trajectoire !).

Et pour la fin de soirée : Skyfall. 007 au top ! J'adore !

 

samedi 29 : retour des oursons, la vie reprend sa course !

Partager cet article
Repost0
7 décembre 2012 5 07 /12 /décembre /2012 18:00

ou 'Mimi ronchon sur son vélo'.

 

Temps de décembre ma brave dame, neige sur la ville, ma pauvre dame.

Pas question de chevaucher le destrier vert pour rentrer, il n'est pas équipé de pneu neige et je tiens à mes chevilles.

De l'école à la frontière du quartier dit 'populaire', je crapahute dans la neige recouvrant la piste cyclable. Je passe la frontière et oh miracle, piste cyclable du quartier bobo salée, circulable pour mémé.

Ni une ni deux : et on parle d'égalité, et où sont les priorités, et on se dit de gauche, et, et, et...

Et, petite poussière d'étoile au fond de mon cerveau (enrhumé, allez j'ai une excuse), réminiscence de réunion technique d'un ancien temps : pas de salage à proximité des cours d'eau ! Préservation du milieu naturel !

 

Ben du coup, dis-donc, je suis de bonne humeur, pas vous ?

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : bouchonbleu
  • : Un petit bonheur par jour pour lutter contre la morosité, une petite note positive à laquelle tout message est le bienvenu.
  • Contact

Recherche